Julien devient Juliette

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il y a 4 ans

Ce ci est une tentative de représentation par une fiction des fantaisies qui m'animent, je l'écrit au gré de mes envies....c'est pour concrétiser ce genre de rencontres que j'ai sauté le pas et me suis inscrit içi !

Il est 10h, Julien est blême, il avance hagard, comme h y p n o t i s é dans une rue le long de la gare de Rouen. Une sourde angoisse mêlée à une pointe d’excitation lui malmène l’estomac et le bas ventre. Il n’a pour ainsi dire, pas dormi de la nuit.

Julien a de bonnes raisons d’être dans cet état second, lui qui se dirige vers l’adresse convenue pour rencontrer Alain pour la première fois. Aujourd’hui, Julien va pouvoir devenir Juliette aux yeux de quelqu’un. Juliette ? Juliette c’est son alter-ego, son âme de jeune fille : Elle porte les couches et les habits mignons et innocents qui lui plaisent, et surtout elle aime bien s’oublier dedans et avoir de gros accidents, plus ou moins volontaires. Elle aime bien ça, Juliette, les gros accidents, ce sentiment de lâcher prise, de confort, de lourdeur procurée par ses langes compissés et salis. Juliette n’existe que certains soirs ou week-ends et ne sort jamais de son studio.

Pourtant, Juliette est elle aussi sujette au désir, et c’est celui ci qui la pousse à se dévoiler devant Alain. Car elle sait ce qu’elle veut la coquine, elle sait à quoi elle pense quand elle s’assoit sur ses épaisseurs de couches pleines, chez elle, en plaquant une main sous ses fesses rembourrées et l’autre qui frotte frénétiquement son sexe raidi à travers les langes pisseux. Elle sait de quoi elle rêve quand elle écarte sa culotte rose distendue par son change odorant pour glisser son gode et se faire exploser sans même se toucher.

Juliette, elle veut un « papa cochon », c’est comme ça qu’elle l’appelle. Un papa cochon, c’est un homme mur, gentil, imposant, qui saura la traiter comme une bonne petite pute en couches, avec tendresse et perversité. Si julien a déjà eu nombre d’expériences homosexuelles du haut de ses 30 ans, Juliette reste elle « vierge ». C’est en expliquant le concept de « papa cochon » à un internaute sur un site ABDL , que Juliette rencontra Alain, et de fil en aiguille, se dévoila à lui. Par webcam, d’abord, un grand pas pour Juliette…elle lui montra ses couches, ses habits préférés, ce qu’elle retirait de ses accidents répétés dans ses langes, comment elle prenait du plaisir dans ses couches souillés.

Elle confia à lui ses fantasmes uro, homosexuels, d’amour de groupe, d’amour en couche, même les plus inavouables. Après près de 6 mois de discussion et d’échanges vidéos torrides, Alain émit l’hypothèse que Juliette pourrai prendre vie lors d’un week-end qu’il organiserait pour Juliette dans sa maison. Alain avait déjà une certaine expérience avec les jeunes hommes, ainsi que pour l’univers des couches, mais avait envie de combiner les plaisirs ! Juliette avait accepté, ils avaient convenu d’une date, et Alain avait retenu un billet de train pour Julien/Juliette. …..12…..14…..16 ! Arrivé. Julien reste ainsi contemplatif devant la façade classieuse de l’immeuble, et sens ses intestins se liquéfier. Fini de fantasmer, place au réel. Le bouton de sonnette pèse des tonnes… Une minute…deux minutes…. « Juliette ? » « Heeeuuu, oui, c’est moi » « Entre vite, c’est au premier ! »

Les escaliers paraissent l’Everest à Julien, chaque pas est lourd, et en haut, l’attend Alain, tout sourire, chemise ouverte sur une toison dru, pantalon fin en coton, l’air sur de lui. Il lui plaque une grosse bise sur chaque joue et prend Julien par le bras pour le faire entrer. Julien est prostré, intimidé et bafouillant, mais son hôte va prendre les choses en main. « Juliette n’est pas avec toi ? Tu devais me la présenter, ou est elle ? » Avant qu’il est eu le temps de répondre, Alain lui adressa un clin d’œil, et l’enjoignit à aller la chercher « probablement dans la chambre d’ami », en indiquant une porte à l’angle de la pièce.

Déboussolé par cette proposition et par la situation inédite qu’il vivait, Julien se dirigea docilement vers la pièce indiquée et l’ouvrit. Il comprit alors : Sur un lit double recouvert d’une alèse épaisse et d’un drap en coton rose, s’étalait un petit choix de vêtements susceptibles de plaire a Juliette, et Oh joie ! Quatre paquets de changes complets de différentes marques, plus des inserts droits et une superbe culotte plastique rose pâle. Il entendit la voix d’Alain venir du living room : « Alors, tu as fini par la trouver ? »

Tout ce que Julien trouva a répondre fut un « Oui » timide et plein d’émotion. Il se déshabilla entièrement, et c’est à cet instant que Juliette prit le dessus. Juliette avait envie de se soulager, elle avait beaucoup bu de café ce matin, et fumé quelques cigarettes avant de monter dans son train. Alain l’impressionnait et l’excitait en même temps. La situation l’excitait. Les vêtements étalés devant elle l’excitaient. Lentement, elle se prépara deux couches droites, et deux changes complets, en prenant soin de percer l’une des deux de petits trous, enfila d’une main experte l’ensemble autour de sa taille ; glissa une petite culotte jaune autour du gros paquet et fini par enfiler la culotte plastique bouffante rose.

Elle adorait cette sensation d’être empaquetée et à l’abri d’un gros paquet de couches. Elle choisit parmi les tenues une jupe plissée aux motifs écossais, qui laissait dépasser la moitié de sa couche par en dessous, et un haut moulant blanc avec un gros logo « i love daddies milk » dessus. Ultra provoc’, mais c’était bien l’intention de Alain lorsqu’il fit l’achat sur le net la semaine dernière. Deux couettes, facile avec ses cheveux mi longs parachèvent le tableau : Juliette se regarde dans la grande glace et se trouve à croquer.

Sa queue est dure comme du bois, comprimée dans ses couches : Juliette a envie. De sexe. De couches. De se soulager. De séduire Alain. De s’exhiber. Une bouffée de chaleur la saisit. Juliette a envie de tout. C’est fébrile de désir qu’elle entre en scène, presque en minaudant sous le regard d’Alain, assit sur un large sofa, et qui la dévore du regard. Juliette perd un tout petit peu de sa contenance au moment de s’asseoir près de cet homme, son « papa cochon », qui sais ce qu’il a en tête pour elle pour les 48h à venir ? Elle lui a tout dit sur la toile, ses moindres fantaisies les plus honteuses.

« Joli top, ma Juliette, je n’étais pas sur, mais d’après nos conversations ces derniers mois, j’étais plus ou moins sur qu’il te plairait. Je te sers quelque chose à boire, j’ai un excellent lambrusco ? » Juliette acquiesce puis entreprend de s’installer sur un des grands fauteuils à coté du sofa. Elle doit pour cela écarter les jambes pour laisser libre champs à ses langes et s’installe ainsi, pattes écartées la culotte plastique et les couches exposées de manière ostentatoire. C’est la première fois que Juliette montre ses couches à quelqu’un en vrai, et elle en rougit de honte malgré elle. « J’ai l’impression que mes petites emplettes t’ont plu » dit Alain en fixant l’épaisseur . « Oui…enfin…heu….oui, si……… »

« Détend toi Juliette, tu es ici pour réaliser tes envies, te réaliser toi-même…..rien que pour toi…je suis ton papa cochon, souvient toi ! » Entendre ce terme si propre à elle dans la bouche d’une autre personne, surtout Alain, fait redoubler son rougissement, et lui tord les tripes d’excitation en même temps. « Merci » « De rien ma puce » Dit Alain en leur servant de belles coupes de vin pétillant italien. La conversation coula de source, comme lors de leur chats en ligne, parlant de tout et de rien, d’accomplissement de soi, de rêves et de réalités, de projets futurs et d’opinions…

Juliette se sentait bien. Très bien même. Le lambrusco faisait son petit effet, ils partageaient une cigarette, et Juliette commençai tout doucement se trémousser sur son fauteuil, se balançant inconsciemment d’avant en arrière, et serrant les cuisses a intervalle régulier autour de ses énormes couches. Alain ne manqua pas de remarquer son manège. « Tu as la bougeotte Juliette…. » « Oui…je…j’ai…j’ai envie de faire pipi » « Qu’est ce qui te retient ? » A ces mots, Juliette resta interdite. Ca y était, elle allait faire la petite Juliette pas propre, et un papa cochon appréciait d’avance le spectacle. C’est avec un regard plein d’innocence, rendue euphorique par l’apéritif, que Juliette se leva se tourna lentement et s’assit de bais, sur les genoux d’Alain, ravi. « Fait un gros pipi pour ton papa, petite cochonne » lui susurra t’il à l’oreille avant de lui faire un énorme baiser langoureux. Juliette ferma les yeux, enfonça sa langue avec délice dans la bouche d’Alain, la dardait dans tout les sens.

Elle sentait sa petite queue durcir, et malgré les couches épaisses, elle sentait aussi le gros bâton de son papa lui caresser le bas du dos. Puis elle ouvrit les vannes. En grand. Les deux petite bouteilles d’eau du train et le lambrusco avaient fait leur office, elle se soulageait de manière interminable tout en mangeant la bouche d’Alain avec des petits gémissements étouffés. Elle sentait ses couches s’assouplir, les inserts se gonfler, le plastique se réchauffer et se détendre, c’était divin. Et Alain qui remuait légèrement pour malaxer ses couches avec sa queue, mon dieu, Juliette avait mal à force de bander. « Mmmhhhhhhhhh » fit la petite cochonne en sentant ses changes se saturer de pipi, faisant remonter l’odeur jusqu'à ses narines. Ils se détachèrent enfin la bouche. Haletante, Juliette était maintenant en rut. L’odeur de pisse avait toujours cet effet sur elle. Elle voulait plus. Il voulait plus aussi. « Quelle petite sale, , regarde, tu as même laissé une tache sur mon pantalon »

Juliette regarda et fit la tache de pipi sur la cuisse de son papa, et la grosse bosse formée par sa queue sous son pantalon. Alors sans un mot elle s’agenouilla tant bien que mal, avec ses grosses couches humides qui frottaient le sol, et ouvrit délicatement la braguette de son papa, baissa son caleçon, et découvrit enfin cette queue qu’elle voulait de toute ses forces gouter. Si Julien avait une petite expérience en matière de fellation, pour Juliette, cela signifiait tout autre chose, c’était sa première pipe. Une belle queue, épaisse et pas trop longue, avec un gros gland…et qui sent un petit peu le pipi.Ça, ça la rend folle Juliette, elle l’empoigne délicatement a la base et commence à branler

Alain en balayant la queue avec son nez, humant à fond cette odeur de mâle viril légèrement parfumée. C’est en la voyant ainsi, que papa Alain fit la remarque suivante : « Je sais que ça te met en transe, les zizi-pipis, alors je ne me suis pas nettoyé après avoir uriné ce matin » A ces mots, Juliette perdit la tête un instant…c’était trop beau pour être vrai. Elle releva les yeux vers Alain, la main toujours en train de branler le beau membre, tendu à son maximum et déjà suintant de désir, l’autre mimine occupée à frotter le devant de ses couches, au niveau de son sexe.

Alain prit alors doucement la tête de sa petite cochonne entre ses deux grosses mains et pencha lentement mais fermement la bouche de Juliette vers sa grosse queue. Sans jamais que Juliette ne baisse les yeux, les lèvres humides rencontrèrent le sommet du gros gland, et après une infime résistance, le membre s’enfonça doucement dans la bouche accueillante de Juliette. Il avait bon goût, il était gros dans sa bouche. « Tu voulais un gros biberon, n’est ce pas ? » « MMMfrrrbbbbbbbggggggg » Fut tout ce que Juliette put répondre avec la belle bite de son papa qui fouillait sa bouche.

Sa main lâcha la bite d’Alain pour rejoindre l’autre au niveau de ses couches, et Juliette fut totalement passive .Alain faisant bouger sa tête à son rythme, tout en bougeant son bassin. Il lui baisait doucement mais littéralement la bouche. C’était divin. Ça se voyait dans le regard de Juliette, transfiguré. Les deux amants sentirent la jouissance monter en même temps. Juliette se demanda si Alain se rappelai certaines de leurs conversations, à propos de son gout pour les belles éjaculations. Alain se rappelait. Après avoir accéléré le rythme légèrement et fait couiner sa Juliette il la prit doucement par ses deux couettes de salope, et lui dit « C’est l’heure du gouter, ouvre grand » Juliette ouvrit avidement la bouche, et Alain explosa. De gros jets sur la langue tendue de Juliette, puis autour de sa bouche, giclant jusqu'à ses cheveux et dégoulinant sur le top « i love daddies milk » .

Juliette pouvais arrêter de cocher ses fantasmes accomplis, elle savait maintenant que Alain était décidé à tous les assouvir. Elle reçut la douche de sperme chaud avec délectation, passant sa langue sur ses joues pour en récupérer un peu, et inonda ses couches elle-même, juste en se frottant par l’extérieur des épaisseurs. Alain prit sa queue en main, et l’essuya sur le top et les cheveux de Juliette, qui lui souriait d’un air coquin, le visage gluant de foutre. Elle se jeta sur son daddy en or et lui fit un gros gros câlin……

Repus, Juliette s'avachit sur le sofa en soupirant d’aise. Alain la contempla alors. Elle avait les yeux fermés, soulevait son bassin, en position semi assise et serra ses petits poings fort dans un élan qui ne laissait aucun doute sur ses intentions. Libéré par ces premiers ébats du week-end, Juliette était bien décidé à jouer la petite cochonne jusqu’au bout du bout, et son état de semi conscience après un bel orgasme ne lui permis pas d’y réfléchir à deux fois. Le visage toujours collant de « lait », elle entreprit de délester ses intestins, qui grondaient depuis ce matin. Ce fut chose facile. « Hmmmmggn…Hmmmmm »

La petite cochonne poussa en deux fois deux fois une belle quantité de popo sous elle. Elle adorait cette sensation unique au monde. Elle sentait la matière remonter devant et derrière, chercher une place, et l’odeur qui ne laissait aucun doute sur le forfait en cours, et qui remontai doucement… « Splortch », firent les langes saturées lors que Juliette repose sans trop de douceur son derrière rembourré sur le sofa.

« HHmmmmmmm…hhaaaaaaaa » fit Juliette en ressentant sa grosse commission s’étaler partout. Puis les vannes s’ouvrirent en grand, et un énorme pipi vint parachever son œuvre. Les 4 épaisseurs de couches se colorèrent en brun léger, une forte odeur de lange envahit la pièce, et deux traits bruns vinrent maculer légèrement l’intérieur de la culotte plastique, témoin de l’abondance de l’accident de Juliette. Une fois son forfait accompli, elle revint sur terre et ouvrit les yeux pour croiser le regard d’Alain. Elle rougit violemment. Peut être avait elle poussé le bouchon trop loin ? Peut être papa était il fâché ?

Coupant cours à ses interrogations, papa Alain prit Juliette sur un genou, écrasant un peu plus les couches de sa petite cochonne, qui pour le coup portait bien son surnom. en soulevant sa jambe, il décolla littéralement Juliette du sol, et celle ci n’eut d'autre solution que d'écarter encore plus les jambes. Le parfum de popo-couche caractéristique se fit plus présent, et elle sentait la masse pousser les barrière anti-fuite, faute de place.C'était juste divin. « Tu as fini ton popo, ma puce, ou tu pousses encore dans ta couche ? » « Presque » Fit d’un ton bébé la petite Juliette, tout en poussant une dernière fois dans ses couches avec un bruit mou. « Bien, on va pouvoir s'amuser un peu alors..."

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